La bataille d’ORTHEZ  - 27 FEVRIER 1814

par

Jean-Yves Sébastian

Reconstitueur de batailles de l’époque napoléonienne 

Jean-Yves Sébastian, pionnier dans le Sud-Ouest de la reconstitution historique napoléonienne, créa à Pau, en 1999, l'association 3ème Bataillon de Chasseurs des Montagnes.

Passionné d'histoire et, particulièrement, de l'époque Révolution et 1er Empire, il contribue, avec son association, au devoir de mémoire par des expositions, conférences et inauguration de plaques commémoratives. Comme reconstitueur, il a participé à une cinquantaine de batailles reconstituées en Europe lors des récents bicentenaires et également aux États-Unis, à Chalmette en Louisiane.

Au cours de ces périodes, l'immersion dans la peau des hommes de cette époque se veut totale, vie au bivouac, port de l'uniforme, exercice selon le règlement de 1791, marches par tous temps et tous types de terrain, sont de rigueur.

En 2014, pour le bicentenaire de la bataille d'Orthez, il a écrit avec les Éditions Périégète, un livre sur cette bataille. La bataille d’Orthez. Le verrou des Gaves, 27 février 1814, 2013. http://www.periegete.com/resultat-recherche-itineraire.php

https://www.youtube.com/watch?v=GUy1SihVM5k

Fort de cette expérience, il vous invite à endosser avec lui l'uniforme de ces braves grognards et de faire un bond en arrière dans le temps.

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« La Bataille d’Orthez du 27 février 1814, une occasion manquée                           

« La lourde défaite de Vitoria du 21 juin 1813, sonne le glas de la présence française en Espagne et du Royaume de Joseph Napoléon. Dès lors, la guerre se déroulera sur le territoire national, dans notre Sud-Ouest et dans un premier temps au Pays Basque où l’armée s’est repliée. Le Maréchal Soult, appelé au commandement par Napoléon, va devoir réorganiser cette troupe démoralisée et affronter la nombreuse armée coalisée, composée d’Espagnols, Portugais, Allemands et Britanniques, du Général Wellesley, futur Duc de Wellington. Sept mois de manœuvres et combats vont amener ces troupes à Orthez, le verrou des gaves. »